Je partage en tout point les propos de la rapporteure. Je crains que ce dispositif n’introduise un biais.
Il serait bien difficile de distinguer ce qui, dans la recherche et le développement, a fini par permettre la mise au point de tel ou tel médicament. Nous serions alors totalement entre les mains de l’industriel.
D’autres leviers, dont certains seront contestés sur une partie de vos travées, existent pour inciter les industriels à investir en France. L’évaluation du service médical rendu doit demeurer au cœur du calcul du prix du médicament. Il convient de ne pas trop diluer les critères pris en compte.
L’avis est donc défavorable.