Laissez-moi conclure mon propos !
Le président de la commission des affaires sociales a raison d’appeler les uns et les autres à la responsabilité avant l’examen des prochains amendements, qui visent, de fait, à dégrader la situation de nos finances publiques.
Je viens de vous donner deux exemples de réformes que nous avons conduites. Il n’y a rien d’anormal à ce que nous en tirions les bénéfices pour le redressement des finances publiques.
Je déplore en effet que ce sujet-là ne soit pas davantage au cœur de nos débats, puisque je dois chaque fois expliquer pourquoi nous souhaitons que ces réformes, qui génèrent des économies, puissent contribuer au redressement des finances publiques. On ne peut pas accepter un déficit public à 5 % du PIB. Sa réduction doit être la conséquence directe des réformes engagées par notre majorité.