Nous avons tous en tête qu’il ne faut pas fragiliser la filière viticole ; encore que celle-ci semble déjà grandement fragilisée, à entendre mes collègues élus des territoires viticoles, et ce alors même qu’il n’y a aucune politique de prévention de la consommation d’alcool dans notre pays. J’invite donc mes collègues à aborder autrement les questions liées à l’avenir de cette filière.
Par ailleurs, on ne peut pas admettre l’idée que l’avenir de la filière viticole repose sur une consommation maximale d’alcool par tous les Français, voire sur toute la planète, car je ne tiens pas à exporter l’alcoolisme dans les autres pays… Ou alors, il faudrait substituer les bons vins que notre pays peut proposer aux alcools qui sont bus ailleurs !