Et je dis bien le président Macron, car tout le monde sait que Mme Buzyn a dû laisser dans ses tiroirs les campagnes de prévention qu’elle avait prévues en tant que médecin.
Tout le monde connaît le coût sanitaire d’une telle inaction. Notre collègue Guillotin a rappelé que l’alcool était la deuxième cause de cancer et la première cause de l’ensemble des pathologies graves : accidents vasculaires cérébraux (AVC), maladies cardiovasculaires…
Hier, monsieur le ministre, vous nous avez appelés à ne pas faire d’idéologie. Pourtant, sur l’alcoolisme, vous ne faites que cela : de l’idéologie et du clientélisme mal placé !