Je regrette l'état d'esprit dans lequel vous abordez ce débat.
Je vous ai écouté, monsieur Sueur, et j'ai eu beaucoup de respect pour vos propos. Essayez d'en avoir un peu pour les miens !
J'aurai l'occasion, disais-je, de lever certains malentendus sur de prétendus amalgames entre immigration et terrorisme, dont je vous laisse l'entière responsabilité.