Monsieur Paul Girod, je vous remercie d'avoir parfaitement recadré les termes du débat avec bon sens. Cela ne m'étonne pas de votre part.
Je prendrai un seul exemple : l'utilité de la vidéosurveillance. Tout comme l'a fait M. Goujon, je veux rappeler qu'en 2001, après les attentats de New York - j'attire l'attention de chacun, notamment de ceux qui, sur un certain nombre de travées, ont critiqué les moyens que nous nous donnons pour développer davantage l'implantation de réseaux de vidéosurveillance -, ce sont bien les systèmes de vidéosurveillance qui ont permis d'identifier les auteurs, dont M. Mohamed Atta et un certain nombre de ses complices, et par la même de remonter un certain nombre de filières jusqu'en Europe et de les démanteler.