De manière très responsable, l'opposition de l'époque avait apporté son soutien total à la majorité et au gouvernement de M. Jospin, parce qu'elle estimait qu'il était de son devoir et de celui de tous les députés et de tous les sénateurs d'unir les efforts, sans esprit polémique, dans un véritable consensus, pour lutter contre l'un des principaux fléaux qui guette nos démocraties en ce début de xxie siècle.