Un problème de date s'est posé : la revalorisation du point d'indice a pris effet alors que les collectivités n'en étaient pas encore informées.
En la matière, il faut essayer d'être logique. En vertu du principe de libre administration des collectivités territoriales, qu'il convient de préserver, chaque administration doit intégrer les revalorisations, lesquelles sont en général demandées par les fonctionnaires des collectivités.
L'avis de la commission est donc défavorable sur ces trois amendements.