J'ai l'impression que nous en sommes aux prières : l'année prochaine à Jérusalem !
Cela fait des années que l'on nous dit de patienter, que l'année suivante, une grande loi globale remettra tout en place. Mais monsieur le ministre, certains territoires n'ont plus le temps d'attendre.
Nos travaux sont peut-être très maladroits, comme vous nous le répétez régulièrement depuis hier, avec une certaine arrogance, mais nous faisons ce que nous pouvons, avec les moyens dont nous disposons.
Nous apprécions votre grande capacité à nous proposer les meilleurs textes possible, mais ces textes, nous les attendons toujours !
M. Attal nous a tenu le même discours l'année dernière, mais nous n'en pouvons plus d'attendre en vain. Dans les territoires comme le mien, l'impatience de nos concitoyens nous pousse à réagir immédiatement.