J’entends les arguments de M. le rapporteur général et de M. le ministre.
Cela étant dit, il s’agit d’une difficulté réelle, qui ne suscite aucun d’effet d’aubaine pour qui que ce soit.
Aujourd’hui, je défie quiconque d’acquitter des frais d’obsèques à 1 500 euros ; ce n’est pas possible.