Le crédit d’impôt pour la transition énergétique couvre déjà une très longue liste : acquisition et pose de systèmes d’isolation thermique, chauffe-eau solaires, systèmes de ventilation, chaudières biomasse, réseaux de chaleur ou de froid, acquisition de protections de baies fixes.
Le seul critère pour inclure, ou non, un geste dans le périmètre est l’impact sur notre objectif en termes de baisse des consommations d’énergie. Si, aujourd’hui, les parois vitrées n’ont pas été retenues, c’est que l’on considère leur impact insuffisant.
Dans les dépenses fiscales que nous mettons en place – c’est tout l’objet de MaPrimeRénov’, notamment –, il faut que nous nous concentrions sur les actes les plus efficaces, afin d’accroître le rendement de l’euro investi. Nous devons correctement cibler, pour encourager les rénovations les plus efficaces.
Monsieur le rapporteur général, il ne s’agit pas uniquement de travailler sur le confort de travail des agents ou des salariés : il faut prendre en considération la performance énergétique.
Aussi, j’émets sur tous ces amendements un avis défavorable.