M. Thomas Cazenave, ministre délégué. Telle est la réalité. Il n’y a de ma part aucune mauvaise volonté. Je suis fier d’avoir porté les cinq avancées susmentionnées, à la suite de mon prédécesseur Gabriel Attal, car elles étaient attendues par les élus concernés, et je suis prêt à continuer de travailler. On ne peut toutefois pas le faire par voie d’amendement.