J’ai une question à poser à M. le rapporteur général. N’étant pas membre de la commission de la culture, je n’ai pas suivi cette affaire. Simplement, comment la taxation sur le chiffre d’affaires que nous allons mettre en place s’appliquerait-elle à YouTube, plateforme dont l’accès n’est pas payant et qui rémunère peu les auteurs, contrairement à Spotify et à Deezer ? Je ne voudrais pas que l’on crée des inégalités.