Au fond, monsieur le ministre, vous venez de donner raison à la commission d'avoir déposé cet amendement de « sincérisation ».
Vous avez indiqué, comme du reste le ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, que vous étiez soucieux de la juste dépense. Cela suppose d'allouer les justes moyens et de les consommer au mieux.
Lorsqu'un tiers seulement des crédits sont consommés au mois d'octobre, cela s'appelle de la mauvaise gestion, et ce sans préjudice de votre souci, que je partage, d'encourager la formation initiale et la formation continue des enseignants et, de manière générale, de tout un chacun.
Formation initiale, formation continue, oui ! « Sincérisation », oui ! Efficacité de la dépense publique, oui !
En tout état de cause je vous remercie, monsieur le ministre, d'avoir implicitement reconnu que cet amendement, du moins en son esprit, a bien votre soutien.