À l’heure actuelle, il n’existe que trois méthodes pour évaluer le label bas-carbone. Or, on le voit bien, il s’agit d’un secteur en pleine évolution. Il est donc nécessaire d’intégrer un certain nombre d’autres dispositions, tant il est vrai que l’objectif de la labellisation carbone doit être largement encouragé, afin d’atteindre les objectifs ambitieux que nous nous sommes fixés lors de l’accord de Paris et des autres COP.
Nous connaissons l’importance de la forêt en la matière. Il convient donc d’accompagner en ce sens le plus grand nombre possible d’initiatives. C’est pourquoi cet amendement vise à offrir un peu de liberté, afin que les initiatives concernant la foresterie puissent se développer.