Tout d’abord, je regrette que la mesure proposée ne prévoie pas de ciblage : quelle que soit la situation de la personne visée, elle pourrait bénéficier de ce dispositif.
Ensuite, et cela rejoint ce que je disais à l’instant, il faudrait peut-être, en premier lieu, compter sur celles et ceux – particuliers, structures, villes, associations – qui peuvent se mobiliser ; c’est ce que j’appelais « le supplément d’âme ».
Enfin, je rappelle que des moyens financiers peuvent être mobilisés par l’État, par de grandes collectivités, et parfois par les entreprises, en faveur de telles actions, comme ils le font dans d’autres domaines.
L’avis est donc défavorable.