Il est toujours plus économique de réparer son vélo que d’en acheter un neuf : la réparation présente donc déjà un intérêt.
Je le redis, si l’on commence à installer systématiquement un dispositif fiscal derrière ce que l’on pense être une bonne orientation ou une bonne idée, on n’a pas fini de créer des niches fiscales !
Notre intention, largement partagée sur ces travées, étant de rationaliser le paysage fiscal, j’émets un avis défavorable sur cet amendement.