Je refuse de décider de l’avenir de 150 000 habitants dans un projet de loi de finances ! Il faut prendre le temps.
Comme cela vient d’être parfaitement dit, nous sommes en train de définir un seuil pour faciliter des choix que nous anticipons, avant même que ceux-ci soient validés par les conseils municipaux. Je crois que nous nous trompons !
Si la loi doit bien évidemment pouvoir accompagner des projets communs et partagés et leur offrir des réponses, elle n’est là ni pour les anticiper ni pour décider à la place des citoyens.
Je répète que nous tenons compte de la réalité des communes nouvelles telles qu’elles existent dans notre pays. Le seuil que nous proposons correspond à la population de la commune d’Annecy, où, comme un certain nombre de collègues de la région le savent, des difficultés se posent.