Nous sommes toujours opposés au développement de l’éolien, maritime ou terrestre, sur notre territoire. Aujourd’hui, il n’y a pas une campagne ni un rivage – à l’exception de celui du Touquet – qui soit épargné par ces engins d’une laideur infinie et d’une efficacité minime.
Le développement de l’éolien constitue une aporie écologique et financière. Par exemple, le parc éolien de Saint-Nazaire, comptant pourtant 80 éoliennes, ne produira qu’un sixième de la puissance des deux réacteurs de Fessenheim, honteusement fermés.
Pour lutter contre cette destruction programmée de nos paysages et de nos fonds marins au service d’une énergie intermittente, peu écologique et surtout inefficace, nous proposons de doubler le montant de la taxe sur les éoliennes en mer. Le défi énergétique et écologique ne peut reposer que sur un mix renouvelé associant nucléaire, hydraulique et d’autres énergies renouvelables comme le solaire ou la biomasse. Il nous faut refuser ces chimères d’acier qui ravagent nos campagnes et nos côtes !