Il a été très bien défendu par Maryse Carrère, mais je veux insister sur un point : les deux communes qu’elle a citées sont les seules communes des Hautes-Pyrénées assujetties à cette taxe. Elles trouvent cela très injuste, dans la mesure où elles se situent très loin de la future gare de Mont-de-Marsan, ville qui est en dehors de leur bassin de vie.
En outre, ces deux petites communes comptent, à elles deux, à peine 500 habitants. La perte qu’entraînerait, pour le financement de la LGV, leur exclusion du périmètre de cette taxe serait donc minime ; ce financement ne serait pas du tout remis en cause, d’autant que le département des Hautes-Pyrénées y prend largement sa part.
Nous n’avons effectivement trouvé que ce moyen pour extraire ces deux petites communes du champ de l’arrêté concerné.