Cela étant, j’émettrai un avis défavorable sur ces deux amendements identiques. Je considère en effet que le travail relatif aux besoins des diverses AOM n’est pas achevé, qu’il s’agisse du fonctionnement ou de l’investissement.
L’instruction de ces dossiers n’est pas aussi avancée que dans le cas d’Île-de-France Mobilités. Au reste, le déplafonnement du versement mobilité dont bénéficie cette autorité organisatrice ira de pair avec un certain nombre d’efforts de la part des collectivités territoriales et des usagers franciliens.