On parle beaucoup d’équitation au fil de l’examen de ce projet de loi de finances ; eh bien, si je puis dire, monsieur le ministre, nous sommes ici face à un refus d’obstacle !
Nous estimons tous qu’il faut développer massivement les transports collectifs, solution de substitution à la voiture individuelle, laquelle doit être non pas éradiquée, mais mise à sa juste place !
Pour ce faire, il existe deux solutions. La première, celle que propose M. le rapporteur général, est de prendre 250 millions d’euros dans les caisses de l’État. Mais cet argent n’ira pas ailleurs, comme l’a fait observer à juste titre M. le ministre.