En revanche, nous aidons là où c’est le plus coûteux, à savoir, d’une part, dans les zones tendues, parce que le prix du foncier y est très élevé, d’autre part, dans l’ancien, parce que la réhabilitation y est plus coûteuse. Réhabiliter les logements existants anciens dans les villes de taille moyenne, les bourgs, les petites villes, dans le cadre du dispositif Action cœur de ville, me paraît pertinent.
Le dispositif du PTZ est calé sur l’objectif d’aider ceux qui en ont le plus besoin, là où il y a le plus de besoins et là où c’est le plus dur, c’est-à-dire les zones tendues et l’ancien.
Certains ont dit que le prêt à taux zéro disparaissait en milieu urbain. C’est complètement faux ! On garde le prêt à taux zéro ; on le garde dans l’ancien. Nous y avons d’ailleurs intérêt, puisque cela contribue à aider nos bourgs, nos centres bourgs, nos centralités.
Je le redis avec beaucoup de force : on ne supprime pas le prêt à taux zéro.