Monsieur le ministre, j’ai l’impression que notre vote d’hier soir vous est resté en travers de la gorge et que vous avez mal dormi.
Je veux bien que nous soyons de piètres législateurs et que nous fassions les choses de manière archaïque et artisanale, mais vous venez de nous faire un aveu extraordinaire, en fixant un horizon à l’année prochaine, une fois que vous aurez tout globalisé et tout étudié.
Le problème, comme l’a dit Mme Lavarde hier, c’est que l’année dernière déjà, on nous promettait des mesures pour l’année suivante.