Je soutiens pleinement les propos de ma collègue Sylvie Vermeillet.
Alors que les formations privées à but lucratif explosent, bien qu'elles ne soient pas forcément une source d'insertion pour les jeunes, il me semble indispensable d'envoyer un signal positif aux établissements privés d'enseignement supérieur sous contrat avec l'État. C'est un moyen de s'engager.
Certes, notre dispositif souffre d'un certain nombre de fragilités juridiques, mais je pense que notre assemblée ne peut pas faire l'économie d'un vote favorable sur ces amendements.