Dans la continuité du précédent amendement défendu par notre collègue Louis Vogel, cette disposition vise également les dotations attribuées aux Eespig.
Ces établissements, issus de la loi Fioraso de 2013, supportent des contraintes, notamment en matière d’accueil des boursiers ; j’y reviendrai tout à l’heure.
Toutefois, je suis bien moins exigeant, voire dépensier, que mon collègue, puisque je propose une augmentation de l’enveloppe accordée aux Eespig de 25 millions d’euros seulement. Cela constituerait malgré tout une avancée pour ces établissements, qui sont financés à hauteur de 5 % du coût d’un étudiant dans un établissement supérieur public.