Pour ces métiers en tension, nous avons en effet besoin d’augmenter le nombre de nos étudiants, que ce soit dans les écoles d’ingénieur ou dans les masters de sciences pour l’ingénieur, qui travailleront aussi en entreprise.
Pour cela, d’une part, dès la loi de finances pour 2023, le budget des écoles et des formations d’ingénieurs a augmenté de 14 millions euros et, d’autre part, le Gouvernement a lancé, dans le cadre de France 2030, l’appel à manifestation d’intérêt Compétences et métiers d’avenir, doté de 700 millions d’euros. Toutes les écoles d’ingénieurs et toutes les formations de master en sciences pour l’ingénieur peuvent y postuler.
Nous les accompagnons pour ouvrir ces formations dont nous avons tant besoin pour les métiers en tension.
Par conséquent, une source de financement et un accompagnement spécifique du ministère soutiennent l’ouverture de ces formations.
C’est pourquoi le Gouvernement émet un avis défavorable sur cet amendement.