Tout d’abord, si nous avons pu travailler sur les bons chiffres – n’y voyez aucun mauvais esprit de ma part –, le CEA ne se trouve absolument pas dans une situation d’urgence.
Ensuite, selon les échanges que nous avons eus avec le Gouvernement, plus particulièrement avec le cabinet de Mme la ministre, le Gouvernement n’anticiperait pas cette année les surcoûts éventuels liés à l’énergie, qui sont en réalité très flottants – les décisions européennes et nationales successives l’ont montré.
Toutefois, en cas de coup dur, il serait possible, comme l’an passé, de soutenir rapidement les opérateurs en situation d’urgence.
La commission demande donc le retrait de cet amendement ; à défaut, son avis serait défavorable.