Si l'on ne peut que partager la préoccupation des auteurs de cet amendement de nous protéger contre les perturbateurs endocriniens, l'expérience menée par la ville de Strasbourg mérite tout de même d'être évaluée. Et l'évaluation qui s'impose ne saurait être uniquement quantitative, comme vous l'indiquez dans l'objet de votre amendement : elle doit aussi être qualitative.
Vous conviendrez qu'avant de généraliser une expérience – surtout pour 50 millions d'euros, voire 1 milliard… –, il faut l'évaluer. Ensuite, nous pourrons étudier s'il y a lieu de procéder à une généralisation.
L'avis est donc défavorable.