Nous proposons d'augmenter les crédits en faveur de la prévention de la transmission du VIH et des infections sexuellement transmissibles à hauteur de 3 millions d'euros.
Une mobilisation sans faille est nécessaire pour lutter contre ces maladies, notamment le sida, si nous souhaitons enfin en finir d'ici à 2030 avec l'épidémie comme menace de santé publique, un objectif fixé par Onusida et que s'est approprié la France. C'était écrit noir sur blanc voilà quelques années dans le bleu budgétaire de la mission « Santé ».