La sagesse du rapporteur spécial vient sans doute récompenser la constance de Mme Doineau…
Nous sommes d'accord pour dire qu'il s'agit d'un enjeu majeur de santé publique. Les actions menées par le ministère de la santé afin de mettre fin à l'errance et à la souffrance des patients s'intègrent dans un plan national de lutte contre ces maladies.
Par ailleurs, les besoins de la recherche sont bien pris en compte, plusieurs programmes ayant été financés pour un montant de plus de 5, 4 millions d'euros.
Enfin, je veux vous dire que cinq centres de référence bénéficient chaque année d'un financement dédié à hauteur de 1, 5 million d'euros, ce qui doit aussi permettre de mettre en place des actions de recherche.
La problématique liée à la maladie de Lyme doit s'inscrire dans le programme national « Une seule santé » et nécessite une approche interdisciplinaire et transversale au service d'une démarche globale.
L'avis est défavorable.