Je maintiens mon amendement, et me joins aux commentaires faits par mes collègues. Il est aujourd'hui question de budgets, de lignes financières, mais la question posée par l'existence de la Ciivise est d'abord celle d'une démarche : libérer la parole des jeunes et des enfants victimes de violences sexuelles.
Cette démarche doit être valorisée et ne peut pas être absorbée, noyée, effacée dans des questions budgétaires. Ce que ces militants ont réussi à faire est assez exceptionnel et difficilement transférable vers d'autres plateformes. Je regrette que cet aspect ne soit pas suffisamment pris en compte.