Les conditions de vulnérabilité des femmes immigrées ou étrangères n'ont pas besoin d'être démontrées. La barrière de la langue constitue un obstacle de taille à l'accès au droit.
Si la commission s'interroge sur l'opportunité de décider d'une subvention à accorder à une association précise, ce qui n'est pas dans nos habitudes, elle s'en remet toutefois à la sagesse du Sénat sur cet amendement.