Retraçons son parcours : il est issu d'une famille qui a fui l'Iran des mollahs et qui a été accueillie par la France. Notre pays l'a donc élevé, nourri, lui a donné un espoir, la possibilité de s'émanciper.
Il a choisi de nous remercier en semant la mort et la désolation.
Il y a quelques semaines, sa mère a signalé son comportement à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Or rien n'a été fait par le ministère de l'intérieur : la responsabilité du ministre doit aujourd'hui être mise en cause.
Hélas, trois fois hélas, cet individu est certes un Français né en France – comme le ministre de l'intérieur s'est empressé de le rappeler –, mais il est d'abord et avant tout issu de l'immigration de culture musulmane – comme toujours, le ministre a omis de le préciser… –, comme 97 % des auteurs d'attentats terroristes depuis 2015. Les dernières attaques, d'Arras à Annecy en passant par Rambouillet nous le rappellent douloureusement.
Le lien entre immigration et terrorisme islamique est donc – nul n'en doutait d'ailleurs – malheureusement évident.
Il l'est aussi en matière d'insécurité du quotidien puisque, selon les mots mêmes du Président de la République, prononcés le 26 octobre 2022 sur France 2, « quand on regarde aujourd'hui la délinquance à Paris, on ne peut pas ne pas voir que la moitié au moins des faits de délinquance qu'on observe viennent de personnes qui sont des étrangers, soit en situation irrégulière, soit en attente de titre ».
Pour être plus précis, selon la statistique institutionnelle du service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), en Île-de-France, 93 % des personnes mises en cause pour des vols sans violence dans les transports en commun franciliens et 81 % de celles qui le sont pour des vols avec violence sur ce réseau sont identifiées comme étant étrangères.
Par ailleurs, dans notre pays, un détenu sur quatre est de nationalité étrangère, sans compter tous ceux qui sont d'origine étrangère. La situation est donc catastrophique.
Face à cela, que propose le Gouvernement ? Encore plus d'immigration, comme en témoigne le budget de cette mission pour 2024, qui atteint 7, 9 milliards d'euros, contre 7, 1 milliards d'euros en 2023, soit une hausse de 11 %.
Tous les budgets explosent : ils illustrent la volonté du Gouvernement de ne pas contrôler l'immigration, alors même que le récent projet de loi Immigration, débattu sur ces travées, qui n'était certes pas la panacée, mais qui comportait quelques mesures de bons sens, a été soigneusement vidé de toute substance en commission à l'Assemblée nationale à cause de l'alliance des macronistes, de la gauche et de l'extrême gauche.
Les résultats de la lutte contre cette immigration massive sont quant à eux ridicules. Alors qu'environ 80 % des demandes d'asile sont finalement déboutées par l'Ofpra, seules 10 % des OQTF sont exécutées. D'ailleurs, la plupart des terroristes qui ont ensanglanté notre pays étaient soumis à des obligations de quitter notre territoire qui n'ont pas été exécutées…
Ce n'est pas une ligne comptable qui réglera ce problème vital pour notre pays. C'est d'ailleurs pourquoi nous ne voterons évidemment pas en faveur de ces crédits.
Pour régler définitivement le problème de l'immigration, il faudra faire appel au souverain suprême, le peuple, comme nous nous y engageons et comme les Français le veulent depuis des années, et ce par l'organisation d'un référendum sur la question migratoire.
Les Français veulent sortir de ce cauchemar, nous les y aiderons.