La prise en charge du droit d'asile en France, de même que la politique d'intégration, a été partiellement déléguée par l'État à ces opérateurs associatifs. Or, si l'État veut reprendre le contrôle de ses frontières et de ses dépenses, il est nécessaire que la compétence du droit d'asile lui soit réassignée. Dès lors, les subventions versées auxdits opérateurs associatifs sont sans fondement.