Parce que je suis convaincu, monsieur le rapporteur spécial, que la France prend la route de l’innovation, de la transition écologique à long terme, en associant les laboratoires de recherche, les entreprises, les administrations publiques, les collectivités locales, comme elle ne l’avait jamais fait. Voyez-y de l’autosatisfaction si vous le souhaitez !
Ce programme est-il perfectible ? Évidemment. Pouvons-nous continuer à l’améliorer ? Bien entendu.
Je forme le vœu que les prochains rapports du comité d’évaluation, dont le nouveau président devrait être connu sous peu, nous permettent de faire encore évoluer le dispositif, mais je préfère retenir, comme souvent d’ailleurs, que le verre est à moitié plein.
Nous disposons aujourd’hui d’un programme exceptionnel, qui permet de mobiliser les troupes et de réindustrialiser le pays. Dans les territoires, je rencontre des chefs d’entreprise heureux d’être accompagnés vers la France de demain.
J’entends évidemment les critiques, nous allons en tenir compte et nous améliorer, mais je reste extrêmement fier que nous ayons mis en place ce nouveau programme.