Cet amendement, déposé par notre collègue Marie-Pierre Richer, vice-présidente de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices subis par les harkis et les autres personnes rapatriées d'Algérie, a le même objet que ceux qui viennent d'être présentés ; seul le montant des crédits demandés diffère.
En l'adoptant, nous répondrions à une demande légitime de ces Françaises qui ont subi la double douleur d'être forcées de quitter leur terre natale, pour trouver en métropole des conditions d'accueil fort difficiles, puis de perdre leur mari.