Mais c’est une plaisanterie ! Le ministre des comptes publics, qui siégeait à votre place lors de l’examen de la première partie du PLF, vous en rendra compte : nous avons adopté le principe d’une recette supplémentaire en première partie en annonçant une dépense plus élevée en seconde partie.
Par conséquent, nous faisons un choix, celui d’un dispositif ciblé, moins onéreux, redonnant de l’argent à l’État et laissant les déciles supérieurs faire un arbitrage.
Le courage, c’est de savoir agir !