Mes propos refléteront quelque peu ceux de Christine Lavarde : cette question n’a pas sa place dans un projet de loi de finances.
En revanche, le sujet de la dangerosité des mines et de la part d’incertitude qui existe en la matière doit être étudié de près. La plus grande crainte des élus locaux est que les mines se referment en raison de leur fragilité.
Vous citez le grand nombre d’études réalisées pour expliquer qu’il n’existe qu’une seule solution. J’ai tout de même un peu de mal à croire à une telle convergence des travaux au regard des interrogations soulevées par la Collectivité européenne d’Alsace et par la région Grand Est sur la réversibilité du confinement. À mon avis, le sujet n’est pas clos.
La bonne solution est encore à trouver, c’est-à-dire celle qui pourra susciter un accord plutôt qu’un abcès de fixation.