Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse, mais vous savez autant que moi que l’accès à une alimentation décente est une nécessité aujourd’hui pour tous nos concitoyens, surtout lorsque des fonds de l’Union européenne existent à cet effet.
Les élus locaux et les donateurs privés n’ont pas à jouer systématiquement le rôle d’amortisseur social. Or ils y sont souvent contraints lorsqu’il y a du retard dans la mise à disposition des fonds auprès des associations. Ce retard met en difficulté leur trésorerie, avec des conséquences immédiates sur les trop nombreux bénéficiaires, qui, très souvent, attendent tout de ces associations.