Comme vient de le dire le rapporteur spécial, ce sujet relève du budget de l’enseignement supérieur, et non de la mission « Santé » du projet de loi de finances.
Mais je veux quand même rappeler que ce budget a été abondé de manière à pouvoir mettre en œuvre les réformes des études médicales et augmenter le nombre d’étudiants. Plus de 43 millions d’euros ont été engagés en 2022 et en 2023 pour répondre à la suppression du numerus clausus et à la création du numerus apertus : le nombre d’étudiants a ainsi été augmenté de 15 %.
Notre capacité à augmenter le nombre d’étudiants ne doit pas être uniquement regardée à travers le prisme de l’université ; elle s’apprécie aussi en fonction de notre capacité à accueillir les étudiants en stage et dans les hôpitaux.