La pénurie est dramatique. Nous pouvons tous le constater dans les centres médico-psychologiques de nos territoires. On a beau ouvrir des maisons de l’adolescent, essayer de faire de la prévention, la situation ne s’améliore pas.
La question a déjà été éludée lors de l’examen du PLFSS et repoussée à l’année prochaine. Vous nous dites maintenant que cela ne relève pas de la mission « Santé ». Il faut pourtant bien en parler à un moment ou à un autre !