Nous l'avions déjà dit l'année dernière. Ce principe ne date donc pas du projet de loi sur l'immigration. Que constate-t-on ? Nous proposons de supprimer 280 millions d'euros de crédits, non pas par opportunité, mais pour respecter le principe de réalité budgétaire.
Je veux dire à Yannick Jadot que, s'il a bien écouté mon intervention précédente, nous ne renions pas nos engagements. Nous abondons l'ensemble des fonds multilatéraux conformément à nos engagements.