Dans le même esprit que Franck Montaugé, je voudrais dire que la mesure du plan de relance qu'il a évoquée avait du bon. Évidemment, ce soutien demande qu'on y mette des moyens. On ne peut faire que des petits pas. Mais, au moment où il faudrait impulser le mouvement, on préfère le casser. Et on en pâtira, car les produits frais, locaux et de saison, c'est bien l'alimentation qu'il nous faut, en particulier pour les plus jeunes. Souvent, dans les familles populaires, le repas en restauration collective est le seul repas équilibré.
Nous proposons donc de maintenir cette aide de 50 millions d'euros, car ce n'est pas le moment de casser l'élan de nos collectivités.