Il ne s'agit pas simplement de répéter une opération ou de redéposer un amendement comme les années précédentes. L'agriculture bio subit une crise à la fois de l'offre et de la demande. Faisons preuve de volonté politique pour agir sur la demande, en application, notamment, de la loi Égalim : nous redonnerions ainsi une véritable bouffée d'oxygène à l'agriculture biologique et aux contrats de territoire.
Par ailleurs, il serait utile que le Sénat montre l'exemple sur la commande publique et l'offre de restauration biologique.