Cet outil vise à évaluer les risques, et notamment les enjeux sylvo-cynégétiques, qui, nous le savons, sont devant nous.
De 20 % à 35 % du coût des actions forestières, et notamment des replantations, provient des dégâts occasionnés par le gibier.
Nous devons donc travailler sur cette question, en dépassionnant le débat sur les chasseurs, certes, mais il faudra bien que les prélèvements augmentent.