À mon sens, à partir d'une certaine densité, la présence des loups n'est pas supportable.
Lorsque l'on compte vingt-cinq attaques, organiser des symposiums pour réfléchir à la façon de faire cohabiter les loups et les éleveurs ne suffit pas. À un moment donné, la seule solution est de réduire la pression de la prédation.
J'aurais aimé vous entendre dire que nous avons besoin non pas d'organiser des symposiums, mais d'agir. C'est ce qui est prévu dans le plan Loup.
Le Gouvernement émet un avis défavorable.