Monsieur le ministre, il s'agit là d'un amendement d'appel. L'heure ne se prête guère à cet exercice – j'en ai bien conscience –, mais je vous assure que je serai bref.
Vous savez l'intérêt que je porte à la question des haies. À cet égard, je salue d'ailleurs votre engagement, dont témoigne le pacte de la haie ; simplement, quelle sera la part de financement réservée à l'entretien des haies ?
Dans notre pays, quelque 15 000 kilomètres de haies dépérissent chaque année. Planter, c'est bien, mais il faut aussi préserver l'existant.
Je vous le dis une nouvelle fois, je suis à votre disposition pour traiter de cette question avec vous.