Je ne souhaite pas prolonger nos débats, mais, dès que l'on parle de l'objectif de zéro artificialisation nette, chaque fois que l'on prononce le mot « ZAN », ici ou ailleurs, cela provoque une forme d'eczéma ou d'urticaire.
Cher Guy Benarroche, j'ai beaucoup de respect et d'amitié pour vous, mais je pense que ce que vous proposez au travers de cet amendement dépasse votre pensée !
Le ZAN est déjà une contrainte. Pour certaines communes, il est même une double peine. L'exclusivité que vous envisagez constituerait une triple peine !
Heureusement, grâce au bon sens de notre assemblée, nous allons vous garder notre amitié et vous pardonner, mais nous ne voterons pas cette affaire ! §