Vous avez raison de souligner les besoins de notre pays. Nous les résorbons progressivement. Le plan « 5 000 terrains de sport » de proximité a été un incontestable succès. Déployé en deux ans, il a permis de financer plus de 5 500 projets d'équipement.
Dans le cadre du nouveau plan « 5 000 terrains de sport – Génération 2024 », 300 millions d'euros seront mobilisés, dont la moitié – 150 millions d'euros – seront consacrés aux équipements structurants.
Dans cet effort d'investissement, les territoires carencés, dont la Seine–Saint-Denis fait partie, ne seront pas oubliés. En effet, 86 % des investissements réalisés dans le cadre du premier plan « 5 000 terrains de sport » ont été réalisés dans des territoires dits carencés.
Je le redis avec une certaine solennité : 1 milliard d'euros auront été investis par l'Agence nationale du sport en dix ans pour développer des équipements.
En y ajoutant les financements au titre de la DSIL, de la DETR et du fonds vert, le total s'élève à 1, 7 milliard d'euros. En comptant la quote-part consacrée aux équipements sportifs de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), c'est une enveloppe de près de 2 milliards d'euros qui aura été mobilisée en l'espace de dix ans.
Jamais aucun gouvernement n'avait fait ce type d'investissement.